Zut ! Je croyais avoir trouvé
le bon titre pour mon roman, mais nenni. Il n’enthousiasmait pas mon éditeur. À
moins qu’il soit source d’inspiration comme celui du dernier, ce n’est pas
facile de trouver un titre accrocheur qui cible l’essentiel de son histoire.
Et la recherche est repartie.
J’ai testé plusieurs titres
auprès de mon entourage. Non ! Euh…, c’est plate ! C’est cucul !
Pas ça ! Peut-être… Ça ne me dit rien. Trop osé ! Pas assez !
Hiiiiii ! Merde, merde, merde ! Scusez-moi ! Souffrant déjà d’insomnies,
mes nuits sont encore plus courtes depuis que je cherche ce fameux titre. Les
cernes me dévorent une partie du visage, je vous le jure !
Mais il y a de l’espoir
heureusement. Un des cinq titres que j’ai soumis hier à l’éditeur, a eu l’heur de
lui plaire. Yééééé ! Mais lequel ? Il me le dira après la réunion de
lundi prochain, a répondu mon maître hitchcockien du suspense. Fiou ! Plus
que quelques jours avant de pouvoir dormir sur mes deux oreilles.
À suivre dans le prochain billet…
Bonjour Francine!
RépondreSupprimerSans demander de dévoiler le titre d'un prochain roman, on peut savoir si le maître du suspense a craché le morceau? Devrait-il encore hésiter, je suggère une séance de brainstorming pour autant qu'on nous livre un indice ou deux du contenu du roman. Plus sérieusement, mais est-ce si farfelu ( la séance de brainstorming ) , quelle horrible souffrance qu'un titre à pondre. Je sais, je sais, un titre c'est une porte d'entrée et elle se doit d'être accueillante, intrigante, mystérieuse, coquine, effrayante, annonciatrice de ceci ou cela, ouf... Pas évident de trouver le meilleur, mais je sens que tu es entre bonnes mains et que ton maître du suspense en est aussi un du savoir-faire.
Diana
On y presque ! Un titre a été choisi par l'éditeur et un sous-titre rejeté par l'auteure. Le suspense continue...
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