vendredi 28 février 2014

Waouh !

J’ai laissé planer un mystère lors du dernier billet. Il est maintenant possible de vous en dévoiler une partie.

Une partie seulement ? Zut ! Sniff !

Je vous le garantis, vous ne serez pas déçus.

D’abord, mon récit contemporain, roman de filles, chick-lit, appelez-le comme vous le voulez, sera publié dès cet automne ! 

Les trompettes résonnent, les anges chantent. Alléluia! Alléluia! Alléluia!

Je crois que ce n’est pas nécessaire de vous mentionner que je vis des moments euphoriques…

Avez-vous remarqué le déterminant employé au pluriel ?

Eh oui ! J’ai une commande de l’éditeur pour en écrire un autre ! Il est dérivé d’un de mes personnages qu’il a particulièrement aimé.

Cool hein ? Oui, mais ce n’est pas tout !

J’aurai bientôt la chance de pouvoir étudier en personne le milieu dans lequel travaille mon héroïne.

Où ça ?!

Sur le siège arrière d’une auto-patrouille…

Voilà ! Je vous en ai assez dit pour l’instant. La suite des choses évoluera dans les prochains billets. Promis !

Bonne relâche scolaire à tous les enfants, profs, parents et grands-parents !

mercredi 26 février 2014

Bilan

C’est déjà la fin du mois et voici un compte-rendu de mes défis.

Défi 1 : Max et Jacob ont traversé deux chapitres, mais leur route devra s’arrêter temporairement pour une bonne cause. Je vous en parlerai quand tout sera conclu.

Défi 2 : Ma lecture ce mois-ci est en deçà de mes objectifs. J’ai lu L’orangeraie de Larry Tremblay et L’amant sans domicile fixe du duo Frutero / Lucentini. Je tenterai de terminer le roman de Joyce Carol Oates, La fille du fossoyeur. J’en suis rendue à la moitié. Pas de livre pour enfants, mais dès la semaine prochaine (Youpi ! La relâche !), la moyenne va remonter. Total du mois de février : 3

Défi 3 : J’ai reporté l’entraînement à cause de ce virus qui s’est amoureusement attaché à moi et ne veux plus me quitter.  Dégage !

Défi 4 : Transport et hébergements réservés pour le voyage en Italie. Quand je m’arrête pour y penser, ça m’aide énormément à chasser les blues de l’hiver.

Défi 5 : Perdu 2 kilos. Un certain dédommagement pour avoir été malade…

Défi 6 : Quatrième billet et peut-être un cinquième cette semaine, si je suis en mesure de vous révéler le mystère du défi no 1.

À tous les lecteurs et auteurs, je vous souhaite un bon salon du livre de l'Outaouais ! 

mardi 18 février 2014

Livre vs cellulaire

Je reviens de la clinique. Misère ! Les virus s’acharnent sur moi cette année ! Pendant que j’attendais et que j’attendais et que… bon, vous savez comment ça se passe dans nos cliniques au Québec, je lisais le bouquin que j’ai indiqué sur le blogue.

De temps à autre, je levais les yeux pour regarder le chiffre affiché sur l’écran. Le mien étant le 374, ils en étaient rendus au 359. Ça faisait bien au-delà d’une demi-heure que le chiffre n’avait pas bougé. J’ai compris pourquoi quand la réceptionniste a répondu à un monsieur très, très impatient qu’un des deux médecins avait été obligé de quitter pour une urgence à l’hôpital. Houlala, la salle d’attente au complet a poussé des grognements de colère ! Entre deux quintes de toux, j’ai ronchonné moi aussi.

Mais bon, j’avais mon roman pour m’aider à patienter. C’est à ce moment que je me suis demandé pourquoi j’étais la seule à en avoir un entre les mains. Bien que plusieurs affiches collées au mur mentionnaient qu’il était interdit d’utiliser le cellulaire, la plupart jouaient avec leur appareil. Je les entendais pitonner sur leur petit clavier ; les bing, bing, des jeux sur internet et les réponses aux textos résonnaient de partout. J’ai compté quatre enfants de moins de sept ans qui s’y adonnaient à cœur joie ! Un frère et une sœur laissés là temporairement par leur papa se battaient pour jouer tout en mangeant un sac de Doritos. Le cellulaire était tout collé de miettes orange. Aaaark ! La déprime a pris le dessus sur mes quintes de toux.

Au bout de deux heures, la docteure, visiblement exténuée, me reçoit et m’ausculte. Elle m’envoie illico à la radiologie, masque sur le visage. Oh non ! Pas une autre pneumonie ! Après avoir donné mon papier à la réceptionniste, je me suis assise à côté d’une dame de mon âge environ. Hé ! Que vois-je ! Elle tenait un gros bouquin entre ses mains. Si vous saviez comment ça m’a rassurée qu’il existe encore dans ce monde des gens qui privilégie la lecture. Elle n’a pas vu mon large sourire derrière le masque.

Une réalité s’imposait toutefois. Il y avait dans cette clinique deux personnes avec un livre pour une trentaine au moins avec un cellulaire. Est-ce utopique de souhaiter qu’il y ait un revirement de situation un jour ? Sommes-nous sur le point de céder toutes nos facultés au piège de la facilité ? Est-ce cela que nous voulons léguer à nos enfants ?

Il y a matière à s'inquiéter...

lundi 10 février 2014

Je voudrais te dire...

Coup de barre la semaine dernière. J’ai le moral à terre, le cœur déglingué, l’échine basse.

La mort, quelle salope tu es ! Tu n’avais pas le droit de l’enlever, elle, qui avait lutté âprement contre un cancer et s’en était sortie triomphante. Elle ne méritait pas que tu lui fauches la vie pendant qu’elle célébrait sa victoire sous le ciel des tropiques.

Qu’y a-t-il à comprendre dans la portée de ton geste insensé ? Ça ne s’explique tout simplement pas.

Je te déteste ! Il n’y a pas d’autres mots.