C’était
trop dur. J’ai recommencé. Pas capable d’arrêter. J’en avais besoin comme l’air
que je respire… Hahaha ! Ne vous inquiétez pas, je ne suis ni alcoolique
ni toxicomane, j’étais seulement en manque d’écriture.
Depuis
le jour où j’ai expédié le plan du prochain roman à l’éditeur, j’ai essayé de
tromper l’attente en faisant toutes sortes de choses. Dans ce même courriel, j’ai
spécifié à ce cher homme que deux ou trois semaines sans écrire me feraient du
bien, que je devais calmer quelque peu mes neurones. Savez-vous quoi ? C’est
l’inverse qui s’est produit ! Les idées dans ma petite tête se sont activées
comme si elles se préparaient, elles aussi, à courir un marathon. Les pestes m’ont rendu la
vie si insupportable que j’ai cédé, aujourd’hui, en ouvrant un document.
Après
avoir rédigé un seul paragraphe, j’ai vite réalisé que c’était un combat désespéré
de vouloir mettre sous silence cette passion qui est ancrée au plus profond de
mon être. Il n’y a pas à dire, les mots et moi sommes indissociables, nous
sommes liés à la vie à la mort. Ouf ! Je respire déjà plus librement…
Bonne fête à toutes les mamans demain !
Bonne fête à toutes les mamans demain !
Zut et rezut!! Youppi et reyouppi!!
RépondreSupprimerÇa va être difficile de penser prendre un café avec toi!! ZUUUUUUUUUUUUUT
ÇA en fera un de plus( pas le café , le roman ) à attendre! YOUPPPPPPPPPPPPPPPI
D'ici là,j'insiste un peu, on se fixe quand même un petit rv?
DianaXX
Les rencontres avec les amies, c’est sacré ! À +
RépondreSupprimerHIHI ! Ça veut juste dire que le mal s'est répandu et que tu es maintenant atteinte de manière chronique. Condamnée à écrire, quelle triste destin !! NOT !! MDRRR
RépondreSupprimerLoll ! Elle est bonne celle-là, Sylvie ! Condamnée à écrire... Ça ferait un beau titre, non ?
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