Après
chaque livre, je me suis dit : « Ça y est, c’est mon dernier que j’écris ! »
Voici les raisons :
Ne
pas savoir que l’on sera publié, même si on a déjà été publié et que l’on pense
que c’est ce qu’on a écrit de meilleur jusqu’ici.
Devoir
passer de longues heures devant un écran, quand on est née avec la bougeotte.
Devoir
faire attention à ses dépenses, parce que les redevances n’arrivent qu’une fois
par année. Et une fois le chèque reçu, revoir son budget à la baisse…
La
pire d’entre toutes les raisons, se rendre compte que l’on vole tes redevances
en publiant illégalement tes livres sur Internet.
Aujourd’hui,
c’est la journée mondiale du livre et du droit d’auteur. C’est d’abord un
événement pour célébrer un objet cher à mon cœur et à des millions de lecteurs.
Mais le but principal de cette journée est de vous conscientiser à ne pas
télécharger les œuvres d’auteurs (es) qui se dévouent corps et âme à vous donner
des heures de plaisir.
Je remercie chaleureusement les personnes qui nous appuient et nous
lisent.
On a vu le logo, on a vu des événements, mais on dirait qu'on a plus fêté le livre qu'expliqué le droit d'auteur. Merci d'avoir donné la véritable raison.
RépondreSupprimerBonjour Claude! J'ai parlé à plusieurs auteurs (es) à Québec et nous sommes plusieurs à être dépités pour les raisons mentionnées ci-haut. La passion d'écrire nous empêche d'arrêter heureusement.
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