lundi 10 février 2014

Je voudrais te dire...

Coup de barre la semaine dernière. J’ai le moral à terre, le cœur déglingué, l’échine basse.

La mort, quelle salope tu es ! Tu n’avais pas le droit de l’enlever, elle, qui avait lutté âprement contre un cancer et s’en était sortie triomphante. Elle ne méritait pas que tu lui fauches la vie pendant qu’elle célébrait sa victoire sous le ciel des tropiques.

Qu’y a-t-il à comprendre dans la portée de ton geste insensé ? Ça ne s’explique tout simplement pas.

Je te déteste ! Il n’y a pas d’autres mots. 

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