jeudi 3 février 2011

8 chapitres, 164 pages, 40,000 mots

Hier, j'ai terminé un autre chapitre du tome 3. Cela m'a procuré, vous savez ce que c'est, ce sentiment de satisfaction quand vous vous couchez le soir et que vous vous dites que vous avez de la chance. Qu'en plus d'être entourée d'une famille aimante, votre travail vous rend vraiment très heureux. J'ai beaucoup parlé dans les derniers billets de l'exigence du métier et des contraintes que celui-ci impose à son auteur, mais il faut reconnaître qu'il y a dans toute chose, l'envers de la médaille.

Hier, j'ai pu profiter d'un autre avantage rattaché à cette belle occupation qu'est devenue la mienne. Au fil des paragraphes, la neige s'accumulait à l'extérieur. Quel bonheur de pouvoir admirer par la fenêtre de mon bureau à la maison cette beauté de la nature, une tasse de thé bien chaud à la main ! J'ai tout de suite pensé à ceux et celles qui se tapaient les routes enneigées et glacées, ou coincés dans les embouteillages monstre, ou pire, impliqués dans un des nombreux accidents diffusés à la télévision en début de soirée. J'ai sympathisé avec eux.

Hier, j'ai oublié les petits et grands désagréments de mon métier pour en apprécier drôlement les privilèges.

2 commentaires:

  1. Alors là, j'aurais pu avoir écrit ton billet !
    J'ai fait et j'ai pensé la même chose que toi, hier. Cocasse. :D

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  2. C'est vrai ?:)Pour remettre les choses en perspective, il y a rien comme une bonne tempête de neige!

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